Actualité - 3 Octobre 2025

Sara Nobels, au cœur du bien-être chez Vivalis

Attachée au sein de l’équipe des Ressources humaines de Vivalis, Sara Nobels a choisi de mettre ses compétences au service d’une mission qui lui tient à cœur : améliorer le bien-être au travail. Un chantier vaste et exigeant, mais essentiel pour l’ensemble de l’administration bruxelloise.

Diplômée d’un master en Ressources humaines à l’UCL, Sara Nobels s’est rapidement tournée vers le secteur public. Après un stage d’un an au SPRB, elle a rejoint Vivalis, attirée par la vocation citoyenne de l’administration mais aussi par la richesse des missions proposées. « J’avais envie d’un poste utile à la collectivité, où je pouvais mettre mes compétences au service du bien commun », confie-t-elle.

Aujourd’hui, Sara est attachée au sein de l’équipe RH, où elle s’occupe principalement de deux volets : la formation et, surtout, le bien-être au travail. Un domaine qu’elle a découvert lors de son stage et qui lui est apparu comme central pour le fonctionnement d’une organisation. « On parle de plus en plus du bien-être au travail, mais cela recouvre des enjeux complexes. Le suivi de l’absentéisme des collègues, par exemple, auquel toute organisation est confrontée. L’absentéisme ne se résume pas à des chiffres”, explique Sara. “Derrière chaque situation, il y a une personne, un parcours, des difficultés, dont il faut tenir compte dans l’optique d’un retour au travail qui se fera dans les meilleures conditions. »

Le bien-être, un chantier en construction

Chez Vivalis, le bien-être est donc porté par deux personnes au sein des RH. Avec sa collègue Valérie, Sara a contribué à structurer ce champ encore récent : suivi de l’absentéisme, mise en place d’outils de reporting, contacts renforcés avec les conseillers en prévention, le service social ou la médecine du travail. “L’objectif est clair : trouver des solutions adaptées et accompagner les collègues dans leur retour ou leur maintien au travail.”

Cette mission implique aussi une dimension de prévention. « Le bien-être, c’est aussi agir en amont, réfléchir à l’équilibre entre vie professionnelle et vie privée, développer des leviers comme le télétravail adapté. » Le chantier est vaste, évolutif, et demande une évaluation régulière des mesures mises en place. "Il ne faut pas croire que des actions à court terme peuvent contribuer rapidement à une amélioration de certaines situations. Mettre un babyfoot au bureau, par exemple, ne suffit pas. Le bien-être au travail demande un engagement profond et durable".

Élément concret de satisfaction au travail pour la jeune femme : les retours humains. “Avoir pu aider un collègue en situation d’absentéisme prolongé, et recevoir un témoignage de reconnaissance sur l’accompagnement apporté. C’est dans ces moments-là que je me sens vraiment utile », souligne-t-elle.

Car, pour Sara, le bien-être ne se décrète pas : il se construit, pas à pas, avec patience et conviction. Chez Vivalis, elle contribue à faire de ce chantier une priorité durable.